Opticien de Paris de passage.
AVIS
M. DEALBERTI, Opticien de Paris, déballé pour dix ou douze jours, sur la grand’place de cette ville, en la maison qu’occupait dernièrement M. Essique-Lefèvre, près la grande Boucherie, tient toutes sortes d’instruments d’optique, physique et mathématiques; lunettes pour toutes les vues, presbytes, myopes, faibles et cataractées, en verres de Venise, et en flintz-glatz[M1], montées en or, en plaqué, en argent, en vermeil, en écaille, en acier, etc. , rondes et ovales; loupes à lire, bi loupes pour la botanique, loupes pour les contrôleurs, microscopes d’horlogers; joli assortiment de lunettes de spectacle, de toutes les formes; télescopes, lunettes d’approche, microscopes à mouche, miroirs pour la barbe, à facettes et à défigurer; lanternes magiques, optique, chambre noire, caméra-lucida; baromètres, thermomètres, pèse-liqueurs, aréomètres pour tous les liquides; graphomètres, équerres d’arpenteurs, étuis de mathématiques, compas, tire-lignes, microscopes de sa fabrique, qui grossissent 3600 fois tout ce qui l’on soumet au foyer de leur lentille; il les vend à un prix modéré et les livres à toute épreuve, au choix des amateurs.
Il tient aussi de plus un assortiment de verres périscopiques, d’après le système du savant Wollaston. Ces verres sont très avantageusement connus à Paris et dans beaucoup de villes des départements. Il vend à juste prix.