Sur la façade d'un immeuble tout en haut de la rue Emile Zola, un petit Saint-Quentin, sculpté en chêne, avait été enlevé par les allemands. Il datait de 1732.
Il représentait le supplice de Quintinus qui aurait eu lieu dans une tour s'élevant à cet emplacement.
C'est la Société académique qui demanda à Gabriel Girodon de refaire un nouveau petit Saint-Quentin en ciment.
Au centre, on y voit Quentin, agenouillé, derrière son bourreau qui lui enfonce un clou dans l'épaule, face à eux, regardant la scène, Rictiovarius.
Ce n'est qu'en 1935 que le bas relief, le martyre de Saint-Quentin sera mis en place.
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Δ
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.