Plusieurs loups, dispersés sans doute par les battues qui ont été faites dans nos environs, se sont réfugiés mardi dernier dans la nuit, au faubourg Saint-Jean; il parait que deux chiens dont on a retrouvé le lendemain les débris, ont été victimes de leur voracité.
Journal de Saint-Quentin, décembre 1840
Médiathèque, fonds local.
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