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Les hospices Cordier

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Le docteur Hilaire Cordier mourait le 16 mars 1886 sans descendant. Il lèguait aux hospices de la ville une somme d’un million de francs pour la construction d’un orphelinat et d’un hospice qui devraient porter son nom.

En 1885, la ville avait déjà élevé des baraquements destinés aux malades contagieux et aux garçons orphelins, rue St-Phal devenue rue du Docteur Cordier, en souvenir de ce bienfaiteur.

En 1887, Joseph et Charles Chérier concevaient le projet. Ils voulaient pour ces établissements de grandes baies pour que le soleil pénètra dans les salles. Deux pavillons seront construits d’abord celui des garçons ensuite celui des filles puis on ajoutera un bâtiment pour la direction et enfin un autre pour un instituteur et un surveillant.

Les hospices pour les vieillards n’arriveront que vers 1893.

Une chapelle séparera les orphelines des vieilles dames.

Les orphelinats et les hospices seront détruits pendant la guerre. Ils seront reconstruits chemin de Fayet.

Ces bâtiments firent l’admiration des journalistes.

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